The Kingdom
L'Hôpital et ses fantômes
Dans le département de neurochirurgie du Rigshospitalet de Copenhague, on suit des membres de l'équipe médicale qui découvrent un monde surnaturel.
Terminée | Danoise, BE, DK, SE | 68 minutes |
Drame, Fantastique, Comedy, Drama, Horror, Mystere, Comédie | DR1, Arte, Viaplay | 1994 |
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3.02 - Épisode 2
The Congress Dances
Karen has a new vision that could possibly aid her in locating the voice. At The Kingdom, preparations are being made for the annual pain congress, but it seems that the demon, Grand Duc, is on the guest list.
Diffusion originale : 09 octobre 2022
Diffusion française :
09 octobre 2022
Réalisat.eur.rice.s :
Scénariste.s :
Guest.s :
Du mieux dans cet épisode, même s'il n'arrive toujours pas à s'affranchir des deux premières saisons. En effet, on retrouve les mêmes gags (les enjoliveurs), il y a une nouvelle opération à cerveau ouvert avec un patient réveillé (ouch si le gag sur les patients non genrés n'était juste qu'un prétexte pour cette confusion de dossier) et on a le droit à un hélicoptère fantôme qui renvoie forcément à l'ambulance mystérieuse d'avant.
Mais heureusement, je commence à rentrer dans l'histoire, il y a de bons moments (l'assemblée des suédois ou le groupe qui font des recherches sur la douleur), les médecins dévoilent de bien drôles grains de folie (Pontopidan), William Dafoe cabotine comme un chouette diable, mais surtout on retrouve le côté Twin Peaks danois (les hiboux, la vision "loge noir" de Karen) qui fait toujours son effet.
Du mieux, mais encore des grumeaux. Comme l'idée de la mise en abyme des deux premières saisons qui seraient des DVD regardés ou connus des personnages et qui est décidément une drôle d'idée mal exploitée. Idem, on sent aussi que LVT a du mal avec le phénomène MeToo comme semble en témoigner la scène du consentement envoyé par e-mail pour qu'un docteur puisse peloter une infirmière, moment d'une ironie moqueuse (même si cela permet un chouette caméo du toujours chouette Alexander Skarsgard)
Bref, c'est loin d'être parfait, mais ça fait tout de même du bien de retrouver les effluves (forcément morbides) de la série originelle.